kikoolol les zamiches!
Eh, oui, n'oublions pas les amiches qui nous lisent!
Nous avons tous envie de siffloter cette belle chanson de nos amis, les monty pythons, en ce vendredi, ouverture des jeux Olympiques aux JO de Londres. (eh, oui, JO, c'est Jeux Olympiques!)
Oui, ces monty serpents (oui, celle là, elle est facile, et maintes fois faite), ces grands oubliés de l'intronisation divinatoire gréco-olympienne -voire même olympique-.
Nous avons entendu Sid Vicious et ses sex pistols, Queen, Eurythmics, OMD, et bien d'autres, mais... Pas d'hymne à la joie, ni nonsense, ni de Benny Hill, ni...ni rien de bien poilant. Il y eut bien Mr Bean en train de pianoter, mais avouez qu'il est loin de représenter l'humour anglais stricto sensu. Bon, pour Benny Hill, nous sommes d'accord.
J'aurais aimé un introduction à la timbre poste (que beaucoup ont oublié, malgré ses prestations remarquées -et remarquables- à la classe, grande émission culturelle des années 90, mais malheureusement, le net regorge de peu d'archives à son sujet). Oh, je vois les cancres du fond qui ricanent, faisant également référence au professeur désagrégé de la Sorbonne, brillamment interprété par Eric Thomas, mais j'eus préféré timbre poste pour cette occasion. Pas qu'Eric Thomas démérite, loin de là, il nous manque à tous terriblement sur les ondes, mais c'eût été remarquable dans cette enceinte Olympique. Enfin un auditoire à l'hauteur de son talent.
Eric Thomas avait déjà des auditoires bien plus larges, il se serait contenté d'un Superbowl.
Enfin, bref, je digresse déjà avant le sujet de ce message. Car, oui, mes amis, je ne poste pas, je message.
Je serais même message comme dirait un ami qui nous est cher.
Le sujet de ce message, est en réalité, comme ce titre poétique et empli de culture, plein d'espoir (prononcez 'esspoar'), un sujet -dis-je-, empreint de bonhomie et de nonchalance, un peu comme si le monde des bisounours était à notre portée. -et je suis heureux que le dictionnaire de mon navigateur ne connaisse la traduction de nos amis les care bears-. Mais, diantre, quel est le sujet de ce foutu message? Ce message à porter à la terre entière, famille, collègues, cousin Hub', et autres voisins?
"Tout n'est pas foutu".
Aaah, voilà un message qui pète hein! Ça vous en met un bonne, non?
Etant dans une période, on va dire, un petit peu, comment dire... Comme le temps? Hein? Non, il fait beau et chaud. Euh, bon.
Pouf pouf, kof, kof. (oui, c'est du Desproges, pour ceux qui ne suivent pas).
Bref, étant dans mes périodes... ah, non, ça ne va pas non plus. J'en reste néanmoins homme.
Bref, je suis a une semaine de mes congés, et j'y suis déjà.
Ça est plus explicite, comme dirait Bossemans?
Oui? Non, peut être?
Bref. (je commence a savoir d'ou leur vient l'idée pour ce titre).
J'étais en train de dîner "zavec un collègue" ce midi, et nous eûmes une conversation, qui, inhabituelle ment, fût intéressante.
Certes, ce collègue était également un ami de longue date (bien que, dans son coin, il trépigne, scandant à tue-tête: ce n'est pas mon ami!), mais bref. Ou, succinctement, comme me le conseille Jean-Louis Bescherelle. Il me dit donc:
"Mais non, gamaing, l'homme -en tant qu'homme-, n'est pas q'une métaphore du monde animal!"
J'eus très dur.
Je fus même douleur.
Non seulement il n'avait pas l'accent de nos contrées Éburonnes, ou Aduatiques, les historiens s'entre-déchirent à savoir lequel est le bon, mais en plus, il était, et, à raison, comme dirait notre ami sus-nommé, raison.
Oui mes amis, je peux avoir des amis qui sont raison (prononcez cela comme: "oui, Nicolas", en lisant tout haut, cela est du plus bel effet).
Donc, disions-nous, notre ami avait -sans doute- raison.
Non seulement, L'homme n'est pas -qu'- une métaphore du monde animal, mais de plus, il peut raison garder.
Mais pourtant, cela est si rare de nos jours. Cela est si...comment dire, pour ne pas être méchant vis-a vis de cet être, tellement Darwinien? Tellement... Optimiste?
Oh, ne parlons pas de l'actualité.
Entre la Syrie et la condition de la femme à Molenbeek, je dois avouer que l'Histoire -remarquez, avec un grand H-, me donne raison.
Mais quand même.
Il y a une, certes, une infime, mais néanmoins présente, portion de la population qui pense que l'homme, n'est pas qu'une métaphore de ce foutu monde animal.
C'est probablement ce qui à mis à plat aujourd'hui.
Donc, vous ne pensez pas tous, comme cet être outrecuidant, que l'homme n'a que ce qu'il mérite?
Certes, ce blog pourrait être philosophique.
Mais malheureusement, il ne sera pas.
Car j'ai, et malheureusement, pour les plus -non pas outrecuidants- mais pour les plus attentifs d'entre vous, botté en touche.
Certes, l'homme vit dans un monde de bisounours. Certes, il veut le meilleur pour lui et pour ses semblables, mais bordel de queue, pourquoi lui veut-il du mal?
Oooh, j'ai usé d'un mot vil. vulgaire et disgracieux. Mais bon. Je m'emporte.
Oui, mes amis. Il est non seulement temps de couper du bois, mais il est encore plus temps de trancher.
L'homme est-il un être différent de l’animal?
Peut-être.
Ou pas.
L'homme est à la paire d'as; ce que les saucisses sont à Francfort.
Une belle histoire d'amour.
Donc, on peut avoir des avis différents, mais aimer la bonne choucroute.
C'est donc ma, pénible, conclusion. Ne soyons pas trop durs avec nos semblables. Peut être que eux, ne connaissent pas la vie de Brian.
Oh, je sais , j'use de raccourcis faciles. Mais j'ai tellement raison.
C'est ce qui fait de vous mes fans!
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