mardi 29 janvier 2013

La vie est un court torrent impétueux

Kikoolol les zaminches!


 Je dois l'admettre, j'écris ce présent message un peu sous la contrainte: mes deux followers (mon meilleur ami et moi même), trouvons ce médium de publipostage peu usité en cette année 2013.

 Et vous avez raison.

 Non que je me désintéresse de vous, non que je ne veuille partager mes résultats sur la divine quête de la fameuse question...non...Rien de tout cela. Un simple manque de temps.

 Je pourrais m'épancher sur les diverses raisons qui m'empêchent de partager avec vous tranches de vie, avis pertinents sur la société moderne ou autre considérations philosophiques, mais il n'en sera rien.

 C'est juste pour vous dire que je ne vous oublie point.
Afin de ne pas vous laisser sur votre faim, nous allons quand même causer d'un sujet qui nous touche tous: pourquoi des caillets plus que de raison, en ces temps de réchauffement climatique, et surtout, par-pitié, pour-une-fois-pas-un-post-a-troll(s)?

 Eh, bien, parlons-en!

J'étionz-en train de regarder un film culte z-a-la-tévé la semaine dernière avec ma moitié, film, que par ailleurs, je découvrais par la même occasion; sorte d'allégorie de la caverne de Platon.

 Oh, je vous vois venir. Vous l'avez vu à sa sortie, et, en grand cinéphile que je suis, j’eus dû le voir en temps et en heure.
 Que nenni.
 Honte et plexiglas sur moi.
Je n'ai pas vu last action Hero en 1993.

 Oui, pourtant j'ai aimé L'autrichien-le-plus-fort-du-monde en ma jeunesse, mais là, visiblement je l'ai loupé pour cause de ... de ... enfin, je l'ai loupé (si ça peut en rassurer certains, je n'ai vu Jurassic park qu'avec ma première petite amie, en 2042).

 Bref. Ce fût une première.

 Ce n'est pas la première fois, par contre, que je vis L'oeuf noir dans un rôle comique. Et, surprise! A contrario de certains de ses congénères, il était plutôt convainquant -remarquez l'erreur de ponctuation-.

 Mais là, en plus, avec un peu d'auto-dérision et myriade de références, ce film fût un vrai régal.

Imaginez vous, Terminator, premier du nom, le seul, le vrai... Arrivant dans notre monde de fous, se rendant compte que tout n'est pas comme dans un film. Ou un flim, pardon.

 L'épisode le plus touchant, le plus triste, ne fût pas son oeil bordeaux (couleur que j'affectionne particulièrement) s'éteignant dans la nuit sous un marteau hydraulique d'une quelconque presse industrielle.

 Non.

 L'épisode le plus touchant, fût bien le moment, ou, le gentil -joué par un excellent Charles Drance-, se rend compte, que ce monde est bien dans lequel il pourrait réussir.

 Et oui, mes amis.

 Ce film, en outre d'avoir un scénario hors-pair, possède l'immense qualité de sa bande son. Je n'oserai parler du cultissime big gun, dont je me rappelle avoir vu le clip sans m'être posé la question du comment ou du pourquoi. C'est vrai quoi: pourquoi un oeuf noir faisant un duckwalk avec mes idoles?

Diantre, pourquoi?

 Pourquoi vous parler d'un film (flim, pardon) qui n'est qu'une énième et pâle copie du mythe de la caverne? Pourquoi parler d'une oeuvre (car, oui, cela en est une) d'un homme dont le patronyme est celle d'un oeuf de pâques sans couleurs? (oh, la référence peut être scientifique, vous savez!)

Pourquoi, pourquoi...pourquoi? (C'est bien la question que se posait monsieur Manatane en Thaïlande, rappelez vous)

 Certes.  Que de questions!

 Nous en sommes tous là: Pourquoi?

 Je vous dirais bien 42, mais cela ne nous avancerait pas des masses. Nous savons que c'est bien la réponse. Mais pourquoi?
Hein?
Par ce que les homosexuels ont aussi le droit d'être malheureux dans leur mariage? Parce que Mittal joue le jeu des socialistes? Parce que c'est l'anniversaire de la mort de Louis De Funès alors que la Grande Vadrouille était moins bien que la septième compagnie? Parce que on est lundi? Parce que tout le monde sait que Lance Amstrong roulait plutôt au pastis qu'à l'eau claire? Par ce que la feuille de menthe était en trop?

 Je vous le demande!

 Ne laissons pas un clochard des mers nous mazouter nos ambitions que diable!

 Malheureusement, aucune de ces assertions n'est la bonne question.

Et c'est bien dommage.

 Cela signifie que non seulement, il dégèle, mais que je dois quand même aller couper des caillets.

 Dans ce foutu pays, quand il ne gèle pas, on a encore froid.

Allez, dès qu'il fera un peu chaud ici, j'irais dans mes montagnes, sur les glaciers, le froid me manque tellement...

 Je vous dis donc à la prochaine, j'ai des sujets de derrière les fagots qui vous fournirons foultitude de racontars à vos petits enfants au coin d'un feu.

Étonnant, non?

    










Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire