kikoolol les zaminches!
Comme promis dans un des bulletins précédents (oui, nous aimons le français, chez nous, la poste, c'est autre chose), je fait une note emprunte de nostalgie et de mélancolie, peignée des turpitudes rocambolesque issues de mon esprit vagabond, afin de donner un peu de couleur au monde qui m'entoure (oui, vous pouvez noter, c'est gratuit, c'est 5 euros la citation).
Je devais placer tous ces mots aujourd'hui, j'y suis enfin arrivé, merci blogspot.
Alors que dire, dans ce monde devenant fou, ou Ubu passerait un un homme dans la norme, et dont les mines de sel ne tournent pas a plein rendement -par manque de mineurs, tous occupés a leur tâches de management, placés à la tête de ministères ou autre conseils d'administration(s)-?
J'ai envie de dire que tout fout le camp. Eh oui.
Entre les actualités qui rendraient dépressif un Auguste (pas l'empereur, le clown évidemment), le boulot qui dévore nos vies tel un ogre découvrant une colonie de vacances sur ses terres, et ce doux souvenir des jours heureux, nous sommes quand même bien en droit de nous poser la question suivante: Broquette de viole, c'est quand les vacances?
Ou est le temps ou l'humain vaquait à ses préoccupations premières? Cette fameuse époque ou il travaillait pour se sustenter, l'époque ou les saisons rythmaient la vie, et les bonnes ou mauvaises faisaient la pluie et le beau temps? (vous pouvez noter aussi, c'est beau, et ça ne mange pas de pain)
Ou est-il?
Je vous le demande. Nous allons, ensemble, essayer d'esquisser une ébauche de réponse.
Oui, pour les puristes, esquisser une ébauche, ça revient à causer del gatte comme on dit chez nous. C'est parler pour ne rien dire. Vous êtes sur un blog, les amis. Si ça ne vous plait pas, c'est le même prix. J'ai beau vous aimer, il faut parfois savoir s'amuser aussi.
Donc, disais-je, ou est ce bon vieux temps? Ah, ce temps ou il faisait chaud en été et froid en hiver, ou les vaches vachaient à leurs occupations, et ou les paires d'As gagnaient contre des paires de rois? Bref, le bon temps quoi. Est-il parti avec nos rêves d'enfants? S'en est-il en allé avec les hirondelles en automne? Je me sens une âme de pouette ce soir, nous allons pouetter.
Je paraphraserait bien volontiers le poète qui un jour à dit: "ou suis-je, qui suis-je...dans quelle étagère? Et oui mes amis, dans quelle étagère? C'est bien la question que nous nous posons tous les dimanche chez Ikea, à errer sans but dans ces allées mirifiquement achalandées sans savoir que faire ni qu'acheter, simplement à tuer le temps avant ce fameux, ce maudit, cet ignoble lundi.
Sommes nous donc tous condamnés à courir derrière ce fabuleux fantasme de garder des chèvres dans les montagnes, à flâner au vent, surveillant le troupeau au loin, qui, gardé par notre magnifique chien, paît librement, pacifiquement et consciencieusement dans les verts alpages? Je vous le demande. Car c'est bien le fantasme qui hante les esprits de tout être normalement constitué. Enfin, par chez moi. Surtout chez moi.
Et si le bonheur, c'était pas simplement aujourd'hui? Hein? Bordel de merde! On peut voir le verre a moitié plein, ou a moitié vide hein!?
On peut bien avoir une cirrhose, et s'en jeter un petit dernier non? C'est pas votre fumeur invétéré de docteur qui vous dira le contraire quand même. Je rajouterais même, ce n'est pas par ce que la planche est baissée que nous ne pouvons pisser (il y a conferatur, je vous le concède).
J'y pensais encore, pas plus tard que tantôt, à l'idée de mon prochain bilan sanguin. Pour ceux qui parmi vous l'ignorent, je suis légèrement phobique des seringues -quand je dis légèrement, c'est que je n'oppose aucune résistance à la piqûre, étant donné que je suis déjà dans les pommes à la vue de l'outil effilé et avide de sang, tel les crocs de Vlad Tepes face à sa noblesse- .
Je vois déjà la mine effarouchée du cerbère de ma bonne santé lors de la lecture de l'audit de mon cholestérol et de mes gamma GT. Et pourtant, ce n'est pas faute de faire des efforts: je fais du sport, j'ai vaguement une âme se sportif, mais il n'y a rien à faire, j'ai bien la vie en général. J'adore cette expression: 'il aime bien vivre'. Ce n'est pas ce que nous faisons tous?
C'est donc tout moi ca. Je prépare une course d'alpinisme, mais je ne peut m'empêcher de prendre une, voire même pire, deux westmalles si le coeur m'en dit (je n'en dirais pas plus pour ne choquer personne). Dur d'être sportif hein. Quand je pense à Johan Cruijff, je rigole doucement. J'en parlais encore à ma femme, quand elle me posait la question d'arrêter complètement le tabac (oui, je fume -encore- la pipe). Elle a beau ne pas être en accord avec mon point de vue -mais bon, tout le monde a le droit de se tromper, non?-, il faut avouer que je ne suis pas le seul dans le cas.
Bref, je digresse.
Et en plus,i l se fait tard mes amis, et mon tas de bûches ne va pas se couper tout seul en caillets.
Tout ça pour en arriver à la conclusion tant attendue, qui me permettra en plus d'aller rejoindre ma dulcinée endormie: certes, c'était peut être mieux avant, comme dirait le rédhibitoire Cabrel, mais on peut encore faire avec. Enfin, sans. Ou du moins comme si. A condition de s'en donner les moyens. Vivons avec nos contradictions, et profitons de chaque petite victoire au jour le jour. Comme me disait un collègue l'autre jour: 'ma journée est bonne quand je pète dans l'ascenseur, et que tout le monde pense que c'est le voisin'. Dieu(x) qu'il a raison.
J'aurais bien fait un vieux smiley, mais l'heure étant tellement grave, qu'il me faut juste vous saluer et vous souhaiter le meilleur, et de belles victoire quotidiennes.
samedi 24 mars 2012
vendredi 9 mars 2012
alors, la planche, levée ou baissée?
Kikoolol les zaminches!
Encore, pendant ma longue soirée poker (oui, ça fait longtemps, je sais), je gamberge, je turlupine, bref, je carbure.
Bref, ça fait un petit temps que je n'ai posté, que je n'ai élucubré, voire même digressé, et, d'après les (deux) demandes que j'ai reçues, je vous manque.
Merci à mes deux followers.
Je viens de voir un squouetch à la télé, et, comme vous le savez, je suis très fertile -Arthur en est la preuve- quand je regarde la tévé, cela parlait de planche de twalette. Ça m'a inspiré. J'ai pensé à vous.
Oui, c'est hautement philosophique, mais je doute que la plupart des gens se rendent compte à quel point cela est le cas. Surtout en ce jour de la "journée de la femme" (qui pour rappel est également la journée du don du rein, allez comprendre). Mais vous, vous pouvez comprendre. Ce n'est pas pour rien que vous suivez avec assiduité ce blog.
Sans être machiste, c'est quand même une question, qui, quand on est en couple, revient souvent. Du moins au début -si on sait mettre le "holà!" à temps-. Je ne sais pas vous, mais dans mon monde, la personne de sexe faible, et donc opposé, reproche souvent le fait qu'il y ait soit des gouttes inconvenantes -et disgracieuses- sur la planche, ou que la planche soit tout le temps relevée. Avec un regard souvent accusateur, voire même, un regard inquisiteur sans connaître l’histoire de la religion catholique occidentale du siècle attenant.
Dans mon jeune temps, ma famille étant composée essentiellement de mâles dominants, rugissants et surtout meuglants, la question ne se posait évidemment pas. Mais, avec le temps, quand nous évoluons, il arrive un temps ou nous nous installons avec une personne du sexe opposé, dont tout vous sépare, du moins dans les us et coutumes. Je dis que la question ne se posait pas, évidemment, pour des raisons pratiques, qui m'ont mené au raisonnement qui va suivre.
Tout est une question de statistiques. C'est un peu comme au poker.
La planche levée est à la toilette ce que la paire de dix est au poker: C'est bien, mais pas top. Mais, si on est au bouton, c'est autre chose, surtout si il n'y a pas eu de relance(s): ça n'est plus aussi évident.
La paire de dix, ou "dimes", comme disent les pros, c'est pas si évident que çà, disais-je.
C'est une main qui peut apporter joies comme malheurs dans les chaumières. C'est "Evil", pour citter Jean-paul deux. Et c'est bien dommage que la question puisse se poser dans la vie de couple. Car un couple, c'est un peu la bergerie dans les alpes, la pair d'As -prononcez 'Aa'-, le graal des gens vaguement socialement moulés. Bref, çà nous fait bien chier qu'un détail tel que la planche de ces foutus goguenots puisse foutre un tel bordel dans nos vies de couple. Les homosexuels sont quand même des gens bien avertis.
Combien de fois, combien de fois ne nous a t'on pas fait la remarquer:" tu peux quand même lever la planche". Combien? Hein? Combien? Ne comptez pas, un nombre entier codé sur 64 bits ne suffirait pas.
La raison est heureusement la pour nous aider. Ainsi que la statistique.
Partons avec un homme standard -non, pas l'équipe-. De base. Un quidam, si vous voulez.
Le quidam va uriner quelques fois par jour, et aller à la "grosse" une, voire deux fois par jours.
Ce "nombre" de fois -pour l'"urinage"-, va de trois, à plus de quinze fois par jour. Ne cherchez pas, on urine, quel que soit le sexe, un a deux litre de liquide par jour. Pour ceux qui vont à la "grosse" plus de deux fois par jour, allez consulter.
Alors, parlons peu, mais parlons bien, pour paraphraser le poète S.Seagal.
Pour une fois la planche baissée -voire deux-, il nous en faut au moins trois levée. Par sexe! (et ce n'est pas sexuel, c'est de la science, que diable!)
Un pour trois. Même deux pour trois dans le pire des cas. Ça n'est plus arrivé depuis la chute de Sodome, ou depuis votre dernier dérangement gastro-entérique.
Tout est dit.
Alors, amis mâles faites attention.
Statistiquement, il vaut mieux laisser la planche levée. Statistiquement, c'est la position de la planche qui posera le moins de problèmes. C'est statistique, et l'aime les statistiques -j'aime tellement ce mot que je le répète- :
- un: pas de gouttes disgracieuses
- deux : pas d'efforts. C'est important. Surtout le matin -les mâles se reconnaîtront-.
Si, malencontreusement, vous deviez faire du cheval (aller a selles, diantre, que nous tombons bas, mais c'est de bonne guerre comme disait Rommel, ou Goethe, je ne sais plus), il vous suffira de baisser la planche. Mais cela ne risquerait d'arriver -au maximum- que deux fois par jour. Et le matin, pour les travailleurs, c'est avant neuf heures.
A contrario, le sexe faible, à besoin de cent pour cent de planche baissée. Donc cent pour cent de chances d'être gêné en cas dommages collatéraux. Bref, cent pour cent de chances de vouloir une planche propre comme le monsieur du même nom.
Et, donc, pas nous, personnes du sexe fort. On n'est pas forts pour rien, hein! Faudrait pas nous prendre pour des branquignolles non plus hein. Broquette de viole, comme dirait l'autre -dont je vous parlerais un autre jour-.
C'est là qu'interviennent les statistiques: madame 100%, nous, à peine 60%. Bref. La science à parlé.
Tout ca pour en arriver ou?
Eh bien, je vous le demande.
Si, en tant qu'êtres totalement objectifs, amoureux de chiffres et de science que nous sommes tous, nous devions nous en tenir aux statistiques, nous ferions ce que nous pensons être bon.
Ne pas lever la planche
Malheureusement, c'est là que le bas blesse.
conclusion:
Gentlemans, si la statistique vous conforte, n'oubliez pas que c'est la journée de la femme. Mais aujourd'hui seulement. Les autres jours, la science est avec vous.
Mes amis, je vous laisse, j'ai du bois a couper.
Encore, pendant ma longue soirée poker (oui, ça fait longtemps, je sais), je gamberge, je turlupine, bref, je carbure.
Bref, ça fait un petit temps que je n'ai posté, que je n'ai élucubré, voire même digressé, et, d'après les (deux) demandes que j'ai reçues, je vous manque.
Merci à mes deux followers.
Je viens de voir un squouetch à la télé, et, comme vous le savez, je suis très fertile -Arthur en est la preuve- quand je regarde la tévé, cela parlait de planche de twalette. Ça m'a inspiré. J'ai pensé à vous.
Oui, c'est hautement philosophique, mais je doute que la plupart des gens se rendent compte à quel point cela est le cas. Surtout en ce jour de la "journée de la femme" (qui pour rappel est également la journée du don du rein, allez comprendre). Mais vous, vous pouvez comprendre. Ce n'est pas pour rien que vous suivez avec assiduité ce blog.
Sans être machiste, c'est quand même une question, qui, quand on est en couple, revient souvent. Du moins au début -si on sait mettre le "holà!" à temps-. Je ne sais pas vous, mais dans mon monde, la personne de sexe faible, et donc opposé, reproche souvent le fait qu'il y ait soit des gouttes inconvenantes -et disgracieuses- sur la planche, ou que la planche soit tout le temps relevée. Avec un regard souvent accusateur, voire même, un regard inquisiteur sans connaître l’histoire de la religion catholique occidentale du siècle attenant.
Dans mon jeune temps, ma famille étant composée essentiellement de mâles dominants, rugissants et surtout meuglants, la question ne se posait évidemment pas. Mais, avec le temps, quand nous évoluons, il arrive un temps ou nous nous installons avec une personne du sexe opposé, dont tout vous sépare, du moins dans les us et coutumes. Je dis que la question ne se posait pas, évidemment, pour des raisons pratiques, qui m'ont mené au raisonnement qui va suivre.
Tout est une question de statistiques. C'est un peu comme au poker.
La planche levée est à la toilette ce que la paire de dix est au poker: C'est bien, mais pas top. Mais, si on est au bouton, c'est autre chose, surtout si il n'y a pas eu de relance(s): ça n'est plus aussi évident.
La paire de dix, ou "dimes", comme disent les pros, c'est pas si évident que çà, disais-je.
C'est une main qui peut apporter joies comme malheurs dans les chaumières. C'est "Evil", pour citter Jean-paul deux. Et c'est bien dommage que la question puisse se poser dans la vie de couple. Car un couple, c'est un peu la bergerie dans les alpes, la pair d'As -prononcez 'Aa'-, le graal des gens vaguement socialement moulés. Bref, çà nous fait bien chier qu'un détail tel que la planche de ces foutus goguenots puisse foutre un tel bordel dans nos vies de couple. Les homosexuels sont quand même des gens bien avertis.
Combien de fois, combien de fois ne nous a t'on pas fait la remarquer:" tu peux quand même lever la planche". Combien? Hein? Combien? Ne comptez pas, un nombre entier codé sur 64 bits ne suffirait pas.
La raison est heureusement la pour nous aider. Ainsi que la statistique.
Partons avec un homme standard -non, pas l'équipe-. De base. Un quidam, si vous voulez.
Le quidam va uriner quelques fois par jour, et aller à la "grosse" une, voire deux fois par jours.
Ce "nombre" de fois -pour l'"urinage"-, va de trois, à plus de quinze fois par jour. Ne cherchez pas, on urine, quel que soit le sexe, un a deux litre de liquide par jour. Pour ceux qui vont à la "grosse" plus de deux fois par jour, allez consulter.
Alors, parlons peu, mais parlons bien, pour paraphraser le poète S.Seagal.
Pour une fois la planche baissée -voire deux-, il nous en faut au moins trois levée. Par sexe! (et ce n'est pas sexuel, c'est de la science, que diable!)
Un pour trois. Même deux pour trois dans le pire des cas. Ça n'est plus arrivé depuis la chute de Sodome, ou depuis votre dernier dérangement gastro-entérique.
Tout est dit.
Alors, amis mâles faites attention.
Statistiquement, il vaut mieux laisser la planche levée. Statistiquement, c'est la position de la planche qui posera le moins de problèmes. C'est statistique, et l'aime les statistiques -j'aime tellement ce mot que je le répète- :
- un: pas de gouttes disgracieuses
- deux : pas d'efforts. C'est important. Surtout le matin -les mâles se reconnaîtront-.
Si, malencontreusement, vous deviez faire du cheval (aller a selles, diantre, que nous tombons bas, mais c'est de bonne guerre comme disait Rommel, ou Goethe, je ne sais plus), il vous suffira de baisser la planche. Mais cela ne risquerait d'arriver -au maximum- que deux fois par jour. Et le matin, pour les travailleurs, c'est avant neuf heures.
A contrario, le sexe faible, à besoin de cent pour cent de planche baissée. Donc cent pour cent de chances d'être gêné en cas dommages collatéraux. Bref, cent pour cent de chances de vouloir une planche propre comme le monsieur du même nom.
Et, donc, pas nous, personnes du sexe fort. On n'est pas forts pour rien, hein! Faudrait pas nous prendre pour des branquignolles non plus hein. Broquette de viole, comme dirait l'autre -dont je vous parlerais un autre jour-.
C'est là qu'interviennent les statistiques: madame 100%, nous, à peine 60%. Bref. La science à parlé.
Tout ca pour en arriver ou?
Eh bien, je vous le demande.
Si, en tant qu'êtres totalement objectifs, amoureux de chiffres et de science que nous sommes tous, nous devions nous en tenir aux statistiques, nous ferions ce que nous pensons être bon.
Ne pas lever la planche
Malheureusement, c'est là que le bas blesse.
- Planche levée, nous pourrions courroucer notre moitié du fait de ne pas avoir pensé à elle.
- Planche baissée, nous pourrions, pour les moins élite d'entre nous, souiller la sainte planche. Et cela arrive même aux meilleurs, surtout en des heures matinales.
conclusion:
Gentlemans, si la statistique vous conforte, n'oubliez pas que c'est la journée de la femme. Mais aujourd'hui seulement. Les autres jours, la science est avec vous.
Mes amis, je vous laisse, j'ai du bois a couper.
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